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38e anniversaire des Jeux olympiques de Montréal : la vasque olympique rallumée pour commémorer l’évènement

Publié le 17 juillet 2014

Montréal, le 17 juillet 2014 – Le Parc olympique soulignera le 38e anniversaire des Jeux olympiques de Montréal, en procédant à l’allumage de la vasque olympique, ce 17 juillet, jour anniversaire des Jeux de la XXIe Olympiade.

Située sur l’Esplanade Financière Sun Life, à l’intersection du boulevard Pie-IX et de la rue Sherbrooke, la vasque marque le point d’entrée du Parc olympique et offre un point de vue exceptionnel sur le Stade et l’Esplanade. Cette vasque est la même qui fut allumée par Sandra Henderson et Stéphane Préfontaine lors des Jeux olympiques de 1976. Elle fut originellement installée à l’intérieur du Stade avant d’être relocalisée à son emplacement actuel. La flamme brûlera à partir de ce matin, 7 h, jusqu’au lendemain, 18 juillet, à la même heure.

« La vasque olympique est beaucoup plus que le symbole des Jeux de 1976 », affirme M. Michel Labrecque, président-directeur général du Parc olympique. « La flamme olympique rappelle une époque inoubliable, qui a débuté en mai 1970, alors que Montréal devenait officiellement l’hôte des Jeux olympiques d’été, à la suite d’une présentation magistrale du maire de l’époque, M. Jean Drapeau, devant le Comité International Olympique, à Amsterdam. À l’aube du 40e anniversaire des Jeux en 2016, il est important de se remémorer que cette XXIe Olympiade a constitué un moment marquant de l’histoire de Montréal et du Québec tout entier», poursuit M. Labrecque.

Pour l’occasion, la Tour du Parc olympique revêtira, à compter de 19 h, des couleurs ambrées et chatoyantes rappelant la flamme, à la fois dans la niche et sur l’échine du mât du Stade. « Montréal est une ville olympique et son Stade, à l’architecture audacieuse, est un symbole internationalement reconnu. Les Jeux de 1976 font partie de son histoire récente et de son héritage. Le Parc olympique, de par sa vocation sportive et événementielle, invite les Montréalais à venir le revisiter et à se le réapproprier à travers une programmation rassembleuse, familiale et accessible », conclut-il.