Le Parc olympique est en contact avec M. Delaney depuis plus de deux décennies. À plusieurs occasions, il lui a été suggéré d’inscrire sa solution dans une démarche plus formelle, et s’adjoindre des firmes de génie-conseils, d’architectes, de fabricants et de proposer un montage financier pour développer et mener sa solution plus loin.

Le Parc n’a jamais reçu de dépôt formel et officiel de sa part.

En octobre 2019, le Parc olympique a mis sur pied un appel de qualification international afin de sélectionner une entreprise capable de remplacer la toiture du Stade, en invitant toutes les firmes intéressées à soumettre leur candidature., L’entreprise de M. Delaney n’a pas soumis sa candidature afin de participer au processus de qualification.

Le seul regroupement s’étant qualifié à ce processus d’approvisionnement fut le consortium GPC, (Groupe Pomerleau-Canam), dont les membres possèdent une solide expertise en gestion de projets d’envergure ainsi que plusieurs réalisations concrètes et éprouvées à leurs actifs, condition sine qua none demandée par le Parc olympique dans les critères de qualification.

Enfin, contrairement à ce qui a été véhiculé dans les médias, la stabilité du Stade olympique ne repose pas sur l’anneau technique mais bien sur les 38 consoles (dont quatre ancrées directement dans le voile sud de la Tour) que composent l’édifice. Qui plus est, les consoles ne supportent que 30 % du poids total de l’actuelle toiture, le 70 % restant étant supporté par le mât du Stade olympique. Toutes ces informations sont facilement accessibles sur ce site.