Comment avez-vous commencé à faire du sport?
Mes parents étaient vraiment impliqués dans la communauté sportive de notre ville (Lachine). Mon père a participé aux Jeux olympiques de Montréal en 1976 à l’âge de 19 ans, en kayak (lui aussi!). Ils m’ont donc donné la piqure assez jeune!
Quel est votre leitmotiv d’entraînement?
Have fun!
Quel est votre idole dans le milieu sportif?
Mon père, Jean Fournel. Il a toujours été ma plus grande source d’inspiration. En grandissant, je me suis rendu compte que j’admirais tous les olympiens, tous sports confondus. La détermination d’un athlète de haut niveau m’impressionne. Jamais je n’aurais cru un jour en devenir un moi-même.
Qu’est-ce que vous mangez et buvez avant ou après l’entraînement?
Le lait au chocolat est une bonne source d’énergie pour la récupération. Avant mes entraînements, je bois uniquement de l’eau pour ne pas irriter mon estomac.
Avez-vous une routine ou un rituel avant vos compétitions?
Pas vraiment. Mon but dans les moments stressants, comme la journée d’une course, est de reproduire une journée normale d’entraînement et de ne pas trop changer mes routines.
Quel conseil d’ordre général donneriez-vous à quelqu’un qui veut améliorer ses performances sportives?
Avoir du plaisir! Trouver une manière bouger sans que ça devienne un fardeau.
Quel est votre rêve d’athlète?
Monter sur un podium olympique!!!
Quelles sont vos forces et vos faiblesses en tant qu’athlète?
Ma force est mon esprit de compétition. J’adore les jours de course et j’aime sentir mon niveau d’adrénaline monter. Ma plus grosse faiblesse, ou une des plus grandes épreuves dans ma carrière, est de seulement me concentrer sur UN sport. J’aime toucher à tous les sports, mais je dois me concentrer uniquement sur mon entraînement de kayak, durant la saison estivale, pour avoir un entraînement des plus bénéfiques.
À part le sport, quels sont vos passions et passe-temps?
Présentement, j’aime m’occuper de mes deux jeunes chiens. Je passe énormément de temps avec eux en plein air. J’aime bien aussi passer du temps dans mon garage pour travailler sur la maison et sur ma vielle moto!
Qu’aimeriez-vous faire après votre carrière d’athlète?
J’ai toujours voulu avoir un commerce. Je suis en constante recherche du projet idéal! Je suis aussi tombé en amour avec les communications et le monde des médias. Être un athlète de haut niveau nous donne la chance d’en connaître davantage sur la façon dont les médias fonctionnent, et je trouve ça très intéressant!
Crédit photo : Julien Héon